Il y a cinq ans, le Canada a lancé la première stratégie nationale d'IA au monde, en réservant 125 millions de dollars sur cinq ans pour renforcer la position du pays en tant que destination de premier plan pour la recherche et l'investissement dans l'IA. Aujourd'hui, cette stratégie a permis d'attirer et de retenir 109 chercheurs en IA dans le cadre des chaires d'IA de l'ICAR Canada, de faire progresser la recherche sur toute une gamme de sujets fondamentaux et appliqués liés à l'IA et d'attirer les investissements d'entreprises locales et internationales.
Dans un récent article publié dans The Logic, Murad Hemmadi pose la question suivante : "Le Canada a misé gros sur une stratégie nationale en matière d'IA. Est-ce que cela porte ses fruits ?"Il se penche sur la stratégie pancanadienne en matière d'IA et interroge des leaders tels que Richard S. Sutton (conseiller scientifique en chef) et Cam Linke (PDG) d'Amii, Garth Gibson du Vector Institute, Elissa Strome de l'ICRA et Foteini Agrafioti de Borealis AI.
Dans un récent article publié dans The Logic, Murad Hemmadi pose la question suivante : "Le Canada a misé gros sur une stratégie nationale en matière d'IA. Est-ce que cela porte ses fruits ?"Il se penche sur la stratégie pancanadienne en matière d'IA et interroge des leaders tels que Richard S. Sutton (conseiller scientifique en chef) et Cam Linke (PDG) d'Amii, Garth Gibson du Vector Institute, Elissa Strome de l'ICRA et Foteini Agrafioti de Borealis AI.
Dans un récent article publié dans The Logic, Murad Hemmadi pose la question suivante : "Le Canada a misé gros sur une stratégie nationale en matière d'IA. Est-ce que cela porte ses fruits ?"Il se penche sur la stratégie pancanadienne en matière d'IA et interroge des leaders tels que Richard S. Sutton (conseiller scientifique en chef) et Cam Linke (PDG) d'Amii, Garth Gibson du Vector Institute, Elissa Strome de l'ICRA et Foteini Agrafioti de Borealis AI.
Cela ne change pas les problèmes de recherche - ils sont tout aussi difficiles ... mais cela rend l'ensemble de l'activité plus excitante, l'anime et en augmente la taille.
Richard Sutton, conseiller scientifique en chef, Amii et président du CIFAR AI au Canada
M. Sutton souligne comment la stratégie, par l'entremise d'Amii, a permis de recruter ou de retenir 35 chercheurs en IA au niveau du corps professoral au cours des cinq dernières années dans des établissements comme l'Université de l'Alberta : " Cela ne change pas les problèmes de recherche - ils sont tout aussi difficiles... mais cela rend toute l'activité plus passionnante, l'anime et en augmente la taille. "
Il qualifie également cette stratégie d'utilisation efficace des fonds et d'élément positif pour l'écosystème de l'IA au Canada et en Alberta : "nous sommes un endroit de premier plan dans le monde entier où des idées, des applications et des entreprises d'IA voient le jour."
"Tout cela fait partie de l'assiette fiscale", déclare Sutton dans l'article. "Le Canada a fait une affaire incroyable avec tout ça".
Nous sommes un lieu de premier plan dans le monde entier où les idées, les applications et les entreprises d'IA se développent.
Richard Sutton
De même, M. Linke note que les chercheurs en IA, notamment les grands spécialistes canadiens Geoffrey Hinton, Sutton et Yoshua Bengio, apportent des avantages au-delà de leurs propres recherches : "Ils forment encore tous des étudiants... peut-être qu'un petit pourcentage d'entre eux finira par travailler dans leurs entreprises respectives. Les autres vont rejoindre ou créer une autre entreprise, ici, en ville."
Consultez l'article de L'article de Hemmadi dans The Logic (également disponible dans le Financial Post) pour en savoir plus sur Amii et d'autres experts de la communauté canadienne de l'IA.
Vous pouvez également découvrir comment Amii crée l'avenir de l'IA ici même en Alberta dans notre rapport d'impact 2021-22.